AOUT : TEXTES & RESULTATS: VACANCES EN ENFER

Et voila le résultat de vos belles oeuvres

RAPPEL CONCOURS :
Matière : Rédaction d'un texte
Thème : ""Vacances en Enfer""


Durée du concours : Mois d'Aout. Vote jusqu'au mercredi 31 août 00h00
Procédure : Pour éviter toute inspiration abusive, les textes ont été envoyés par MP à un membre NEUTRE Tsukki qui n'a pas participé au concours.
Elle seule connait les textes qui appartiennent aux auteurs.
Elle me les a envoyé par mail sans les noms des artistes.

5 PARTICIPANTS :

Alcana
Tiphereth
Tanita
Maybel
Gaëlle


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CONDITIONS DE VOTE

Conditions de vote
Comme expliqué dans le topic d'annonce du concours, nous devrons établir un classement.
Nous classerons les oeuvres de notre préférence en leur donnant donc un rang.
Comme il y a 5 oeuvres, nous attribuerons aux oeuvres une note de 1 à 5 (5 étant la meilleure note)
Bien évidemment, nous pourrons assortir nos notes de commentaires

1ère phase : le vote des auteurs
Afin que les auteurs puissent aussi voter et apprécier les autres textes, ceux ci vont voter en 1er. Mais sans inclure leur texte dans leur classement. Note de 1 à 4 donc.
C'est pour cela que ce topic est verrouillé jusqu'à temps que cela soit fait.
Les votes des auteurs seront à envoyé à Tsukki par MP qui les révèlera le dernier jour..
A la fin du vote, nous connaîtrons les auteurs des textes...

2e phase : Nos votes
Dans ce topic les non-auteurs établissent leur classement (même si cela va être très difficile!!!) et postent leurs commentaires. Pas de flood dans ce topic, uniquement nos votes et commentaires.
Tsukki peut établir un classement mais pas de note car elle connait les auteurs.

Présentation des votes
N° du texte + titre = x point(s)
(à mettre dans l'ordre de vos préférence si possible)

Durée du vote
Le vote sera terminé le MERCREDI 31 AOÜT au soir afin que le maximum de monde puisse voter. De mon coté j'enverrai un email de masse aux membres du forum. Il faut que les auteurs se dépèchent de voter afin que je puisse ouvrir le vote aux autre le + vite possible.

Voila les règles, si vous avez une question, postez dans l'autre topic du concours.

Bravo pour les magnifiques textes réalisés !!! Et surtout aux auteurs qui ont bien voulu partciper au concours!!!!


Voila place aux textes...

Bonne Lecture...

Texte 1
Sous les vacances...l'enfer !

Au gré d’un monde, doucement le temps s’arrête, merveilleuse mer de Chine, rochers abrupts qui plongent, intenses, dans les flots limpides. Les pêcheurs lancent inlassablement leurs nasses, espérant capturer un homard ou une langouste.
Le jour se confond avec la nuit, les ormes dansent sur les flots calmes, embrassant les aulnes séculaires et torturés.
Les oiseaux se taisent, apaisés soudain par la quiétude de cette terre oubliée, sublimée, magnifiée par le sceau de quelques Dieux généreux. Doucement la nuit avance, jetant sa capeline d’organdis noirs, seulement irisée d’un liseron d’or.
Une à une les étoiles éclairent le chemin de leur impératrice, ronde et joufflue.
Calme serein, tout empli de plénitude dans des fragrances de lotus.
Au loin les pêcheurs, inlassables, jettent leurs filets dans un geste auguste, auréolé par la lumière jaune de leurs fanaux. Ils répètent, inlassablement, ce geste rare, que leur ont transmis leurs pères, qui le tenaient de leurs pères, depuis la nuit des temps.

Quelques mètres, juste quelques malheureux mètres, nous séparent de la folie des hommes.

La nuit est chaude, la mer atténue cette humidité ambiante propre à ce merveilleux pays.
La route est mal éclairée.
Juste derrière moi, la digue protège le village de la houle des vagues qui s’écorchent vives sur les arrêtes de mes nuits.
Je regarde ces barques tranquilles, qui évoluent doucement dans ce décor de carte postale.
Je pousse la porte, lumière tamisée, musique entêtante, assourdie, murmurée.
Ils me regardent passer, ces drôles de vacanciers.
La lourde hélice frappe l’air enfumé de ce bar, volutes transparentes et opiacées, qui s’échouent sur une aire engourdie, et qui s’enfuient à nouveau, pousser par le souffle du ventilateur, inlassablement, comme ma vie qui m’échappe, ballottée par la folie des hommes.
L’un d’eux me hèle, je m’approche de lui. Il dégouline de sueur, moiteur musquée de ces terres de Siam.
Il est riche, je le sais, comme tous ces touristes qui boivent en une soirée plus d’une année de salaire sur les barques d’en face.
Il glisse ses mains avides sous mon corset, et attrape mes chairs intimes de ses doigts tout poisseux. Il rit de son rire gras, excité par ses amis, qui me pétrissent les fesses. Il pue l’alcool de riz et le litchi.
Je vais être son jouet, l’espace d’une nuit, et à l’aube, je vais apporter plus d’argent à mon père, qu’il n’en a jamais vu.
Déjà ils montent avec moi, m’entraînant vers les fanges et le stupre.
Tout aveuglé d’alcool, il n’y a personne pour remarquer mes larmes, alors qu’ils déchirent mes vêtements.
Et ma petite sœur, sur le quai d’en face, qui attend mon père, guettant sa barque, et qui m’envie, pressée elle aussi, de s’offrir pour quelques dollars.

Drôle d’enfer pour des vacances !


Texte 2
L’enfer au Paradis

Je m'avançais vers ma poupée, que tout d'un coup elle a pris feu. Je commençais à paniquer, et je me sentais perdue. Je regardais autour de moi, je criais de souffrance : Un cri perçant me "déchirait" les oreilles. Je me laissais tomber par terre, et, en me retournant j'ai vu une voix qui criait. J'avais du mal à me relever. Et aussi, en me relevant, j'ai vu une fée. Elle me demanda d'aller au manoir des démons, pour sauver ma vie. La fée disait qu'elle connaissait ces démons car ils lui ont sauvé la vie. Elle me demanda donc d'aller chercher une amulette contre les démons. Je m'y rendis. J'avais tout de même peur. Je me rendis alors prés du manoir. Un immense tigre en pierre, était pendu sur le toit noir et sombre. Les gigantesques portes s’étaient ouvertes toutes seules. Je suis rentrée pour voir s'il y avait quelqu’un, mais en vain. Je criais quelqu'un, qu'un homme arriva. Je lui ai demandé ou les démons se cachaient-ils, il me répondit que les démons étaient dans un cimetière. J'ai attendu. Personne ne venait. Je m'ennuyais : On m'avait tendu un piège. La fée arriva. Elle ouvrit les immenses portes et je puis maintenant rentrer dans ma cabane. Je n'ai plus dormi une seule fois. Je me suis plongée dans mon âme et je pleurais. Personne ne venait. Je mourrais en silence. Quand on m'a enterrée, les démons sont venus et m'ont sauvée, une fois de plus, la vie. J'étais au cimetière et saine et sauve un des démons me donna l'amulette. Et voilà qu'à partir de ce soir là, je ne craignais plus rien.
Histoire de gentils démons


Texte 3
Quel Enfer !!!!!!

« Quel Enfer !!!! » Voilà quels furent les premiers mots de Lula en se réveillant ce matin là, lorsqu’elle était partie pour les vacances sa mère lui avait dit « tu verras ce sera les plus belles vacances de ta vie, tu rentreras avec des souvenirs plein la tête ».
Ce que Lula voyait surtout c’est que ce camp de vacances était l’exacte réplique de ce à quoi ressemblait l’enfer selon elle, le camp en lui même au premier abord semblait joli et bien entretenu mais lorsque l’on grattait un peu la surface l’on trouvait un lieu sale, des plantes mourantes, puis ensuite on découvrait le directeur et les moniteurs alors là l’enfer commençait vraiment, par qui commencer … ? Voyons, nous allons commencer par le haut de la hiérarchie ; ce très cher directeur, un homme charmant avait dit sa mère, un tortionnaire pensait Lula, selon lui des vacances réussies pour des enfants de leur âge était un été passé à être ses esclaves. Ils étaient condamnés à ranger et nettoyer les dortoirs toute la journée …… et lorsqu’enfin ils avaient le droit de sortir voilà qu’ils étaient confrontés aux Monos – accessoirement les fils du directeur – ceux-ci avaient dans l’idée que l’activité la plus intéressante pour les enfant était de leur obéir, de faire leur basse besogne et de leur servir à boire et à manger pendant que ceux-ci pelotaient les pensionnaires les plus âgées du camp.
A présent parlons de la nourriture et du couchage dans ce camp, la nourriture ? Quelle nourriture ? S’ils voulaient manger, ils n’avaient qu’à trouver de quoi et se le préparer eux même voilà les mots du directeur, quand au couchage……. Attention âme sensible se tenir éloignée des dortoirs surtout, de très vieux lits jumeaux qui partent presque en ruine sur lesquels sont posés des matelas sur lesquels même les négriers n’auraient pas osé faire dormir les esclaves.
Ce jour là Lula décida d’écrire à sa mère, elle se contenta d’une lettre concise et rapide, elle espérait que sa mère comprendrait…
« Aides nous, ici c’est l’enfer, nous travaillons comme des esclaves, pas de vacances juste du travail, viens vite maman je t’aime »
Elle espérait que sa mère ne prendrait pas sa lettre pour une plaisanterie ou un caprice.
Au bout de quelques jours elle commençait à se dire que sa mère se fichait de ce qui pouvait lui arriver ou bien qu’elle ne l’avait pas crue, elle qui ne mentait jamais ……… une nuit cependant on entendit des sirènes de police et le directeur fut arrêté tout comme ses fils, Lula vit sa mère et courut se blottir dans ses bras…… Sa mère lui expliqua que les policiers avaient besoin de preuve et que c’est pour cela qu’ils avaient mit autant de temps. Ils observaient tout ce qui se passait dans le camp. La mère de Lula la serra dans ses bras et lui dit : « ne t’inquiète pas mon ange l’enfer est enfin terminé et pardonne moi de t’avoir envoyée ici »
Lula ne lui répondit pas et se serra dans les bras de sa mère pour lui dire qu’elle ne lui en voulait pas, car le directeur/diable allait finir dans une autre sorte d’enfer.

Texte 4
Descente aux Enfers

Aveugle...

L'enfer muet, le silence. Plus de bruits, plus rien. Rien n'existe autour de moi ... Rien n'existe ... à part moi.
J’enfonce l'aiguille dans ma veine, je laisse s'infiltrer la musique, dans ma tête et dans mon sang.... le chaos... le néant...
De nouveaux chemins serpentent, vierges, pleins de bruit et de fureur, parés de leurs robes sacrificielles et de leurs masques de bourreaux.

Et mon âme est une vraie tempête.

Partout, la musique, si belle et puissante. Infinités de Destin, les harpes se brisent dans ma chair, les violons s’élèvent, et pleuvent des notes d'argent.
Poudre blanche... sang et larmes ... je Rêve...
Seule...

Je retire l'aiguille de mon bras. Le bruit gronde dans ma tête. La Mélodie devient voix, voix devient murmures, et murmures hurlements, les hurlements des damnés, criant leur overdose, jugés sur la balance des âmes.
Je suis mon propre Enfer, de cendres, et de poussières ....
Il y avait le chagrin, il y avait la haine,
Il y avait les flammes, et les lamentations,
Maintenant voit l'oubli.
Les cinq fleuves sont passés, j'arrive en ville glauque, où mon destin s'achève. A côté de moi, comme dans un autre monde, de l'aiguille de la mort suinte une tâche pourpre. La poussière blanche vole, la musique m'échappe.

Petite rien, poupée désarticulée, pendue au bout de son fil, comme l'aiguille d'une horloge. Mon corps balance...
Il fait froid, si froid. Un brouillard de givre, d'où naissent des ombres évanescentes, au faciès d'épouvantail. Elles pleurent des larmes d'aquarelle.
Elles ont pris la musique, et laissent la souffrance. Ma main tâtonne, et je cherche, et je cherche .... un peu de poudre blanche. Les flûtes sont brisées, mon corps en champ de bataille, que personne ne viendra pleurer.

Il n'y a rien pour moi. Il ne reste rien, plus rien ...

Une salle d’hôpital, avec de grands murs blancs. Deux mètres, sur deux mètres, sur deux mètres. Des fils qui tiennent les pantins ...
Je suis mon propre Enfer.
Je suis le rêve, je suis la folie, je suis la maladie, je suis la drogue et la mort. Je voudrais la musique.
Que tout s'arrête .... maintenant !
Il n'y aura plus de jours, ni de nuits, ni d'aurores. Les étoiles sont éteintes, et l'astre est de cendres. Le crépuscule des dieux, qui jamais ne veulent mourir.

Je suis pantin, aveugle et translucide ... toute seule. Mon âme est tailladée, je suis déjà si loin, et mon visage, et mes yeux morts, qui s'ouvrent comme une plaie infectée ... des yeux que seule la drogue peut enterrer. L’enfer ...

Souffrance,
Inconscience,
Délivrance ...

Texte 5
Cher journal

« Cher journal,

Ce voyage interminable que j’ai fait, ces terribles vacances … j’ai eu plusieurs fois l’idée d’écrire pour étendre sur papier ce que j’avais vu et surtout ressenti, mais j’étais trop troublée par ce que je voyais chaque jour. Je ne trouvais pas les mots, mais quelques jours se sont écoulés depuis ce séjour et je tenterai de me libérer de toute cette horreur.

Ce qui m’a sauté aux yeux et dégoûtée à première vue, c’est de voir tout ces paysages que j’imaginais merveilleux, toute la verdure que j’avais pu voir sur photos, toute cette nature qui devrait respirer de vie, presque entièrement morte, noircie par les ravages des hommes. On m’aurait prévenue que je n’y aurait pas cru, cela semble impossible ; c’est pourtant réel. Une réalité dont mes parents m’avaient subtilement parlée ; oui, ils m’avaient avertie, tout n’est pas comme chez nous, mais de là à la destruction quasi totale…

J’ai eu maintes fois peur, une peur incontrôlable de voir tout cela se transposer sur notre si paisible planète, j’étais tellement effrayée à cette idée que parfois j’avais envie de revenir chez nous, pour profiter du temps qu’il nous restait, mais je me reprenais et je me disais que notre peuple si pacifiste ne ferait jamais une telle chose. J’avais aussi le mince espoir que les apparences soient trompeuses et de trouver du meilleur, du plus beau quelque part sur cette planète anciennement bleue. Malheureusement, ce que je vis ne fut pas meilleur ou beau, au contraire.

Une terre de cendres, de poussières dans laquelle je marchais péniblement, où la vie se faisait rare, où le froid réussi à atteindre notre cœur malgré la chaleur étouffante des lieux. Il faudrait un cœur de pierre pour être insensible à cette destruction immense qui se trouve à chaque endroit où notre regard se pose. Je n’ai pas vu des champs de fleurs, mais des champs de croix sous lesquelles gisaient des cadavres, des cercueils, des hommes morts. À un moment l’air se fait irrespirable, quand notre tête passe par notre corps pour nous crier qu’il en a assez vu. Oh oui, assez vu, malgré cela, je retrouvais mon souffle et je continuais, je voulais en voir assez et me convaincre de ne jamais revenir, sous aucun prétexte. J’ai vu des enfants aux yeux… sans brillance, sans enfance. Des yeux vides de toute innocence, un regard qui a vu trop vite le désespoir perpétuer dans celui de leurs parents. Des touts petits qui sourient à peine. Ça m’a fendu le cœur, je ne m’en remettrai jamais, j’en suis convaincue.

Je me sentais perdre moi aussi la vie que j’avais en moi, c’est contagieux la misère… C’est à ce moment que j’ai compris qu’il fallait que je rentre au plus vite, avant d’être moi aussi un cadavre ambulant. J’aurai une pensée pour ces gens chaque soir avant de me coucher car pour eux l’enfer de la terre n’est pas un simple voyage, mais un lieu de vie continu. Ils vivent sans lumière, dans la fumée, le noir, sans souvenir que beauté a déjà existé. Ils se sont détruits.

J’ai le cœur gros, non, sur la terre ce n’est pas rose… »

ATTENTE DU VOTE DES AUTEURS AVANT D'OUVRIR LE VOTE AUX MEMBRES

Les auteurs doivent envoyer leurs votes par MP à Tsukki.
Vote de 1 à 4 sans noter leur créa perso.

VOTES OUVERTS

voici mon classement:

4: "descente aux enfers"-->5 points
1: "sous les vacances...l'enfer"-->4 points
5: "cher journal"-->3 points
3: "quel enfer"-->2 points
2: "lenfer au paradis"-->1 point

bravo aux auteurs

N° 5 "cher journal" 5 points - j'ai vraiment bien aimé ce texte avec la planète !
N° 4 "descente aux enfers" 4 points
N° 3 "quel enfer" 3 points
N° 1 "sous les vacances...l'enfer" 2 points
N° 2 "l'enfer au paradis" 1 points

Bravo pour ces textes tous différents !!!

Il n'y a pas beaucoup de membres qui votent...

Voili voilou mon classement, piouuuuuuuuuu

Texte 3 => 5 points
Texte 5 => 4 points
Texte 1 => 3 points
Texte 2 => 2 points
Texte 4 => 1 point

C'est vrai Maybel, tu as raison, on a pas beaucoup de monde qui vote ...
Où qui sont tous passés ?

Alors voilà mon vote, en tout cas bravo à tout le monde pour ces beaux textes

Texte1:5 points: j'ai beaucoup aimé le contraste entre les 2 parties du texte

Texte4:4 points

Texte5:3 points

Texte3:2 points Les jolies colonies de vacances

Texte2: 1 point

Texte3 : 5 point
Texte2 : 4 point
Texte5 : 3 point
Texte4 : 2 point
Texte1 : 1 point

Bravos à tous !!!
C'est toujours très dur de devoir mettre qu'un seul point, car malgré qu'il ne soit pas mon préféré le 1 est un bon texte !!

¤Asuka Saruwatari¤ a écrit:

Texte3 : 5 point
Texte1 : 4 point
Texte5 : 3 point
Texte4 : 2 point
Texte1 : 1 point

Tu as voté 2 fois pour le texte 1 et tu as oublié le texte 2.

Merci encore une Fois Tsukki !!!
Décidémment moi et les votes...
A chaque fois on me reprend!!! (J'ai corrigé ^^ encore une erreur d'inattention)

je trouve que c'est la 1ère fois que les écrits présentent une telle diversité d'inspiration et de style. , donc d'autant plus d'intérêt !
N°s : 4 = 5pts
1 = 4pts

2 = 3pts
3 = 2pts
5 = 1

Voici mon classement :

Texte n°5 --> 5 points
Texte n°3 --> 4 points
Texte n°1 --> 3 points
Texte n°4 --> 2 points
Texte n°2 --> 1 point

Voila et Bravo à tous !

Normalement, les votes sont clos depuis hier, mais c'est dommage qu'il n'y ait pas plus de personnes "votantes" car les auteurs se sont donné de la peine pour nous...
Pour ma part, j'ai les résultats mais je ne sais pas si je peux attendre encore quelques jours avant de les divulguer
Venez voter!!

Je sens qu'on va attendre encore longtemps ; ça fait quand même plusieurs jours que les votes sont ouverts

je viend de voire que j'avais oublier de poster mon vote il était tout pret avant l'ouverture pis j'y ai plus penser, alors le voila

texte 1: 1 point
texte 2: 2 points
texte 3: 4 points
texte 4: 5 points
textes 5: 3 points

encore toutes mes excuses

Tsukki, je te donne l'autorisation de divulguer les résultats !!!!

Il y eu quand même pas mal de votes, sans compter ceux des auteurs...

Voilà, merci pr les votes de mon textes (je ne dirais lequel d'ailleurs... enfin pour l'instant !!) enfin ça fait plaisir, même si je ne gagne pas, ce n'est pas vraiment ce que j'éspérais, car je trouve que d'avoir participer
est suffisant pour moi !!!
bon ba... voilà !!!

Et voici le CLASSEMENT!!

Texte 4 : "Descente en Enfer" de Tipheret : 42 points

Texte 1 : "Sous les vacances l'enfer" de Gaëlle : 38 points

Texte 5 : "Cher journal" de Maybel : 36 points

Texte 3 : "Quel enfer !" de Tanita: 34 points

Texte 2 : "L'enfer au paradis" d'Alcana: 20 points

Votes des Auteurs :

Gaëlle
Texte 4..... Descente en Enfer : 4 points
Texte 5..... Cher Journal : 3 points
Texte 2..... L'enfer au Paradis : 2 points
Texte 3..... Quel Enfer ! : 1 point

Alcana
Texte 4..... Descente en Enfer : 4 points
Texte 1..... Sous les vacances l'enfer : 3 points
Texte 3..... Quel Enfer ! : 2 points
Texte 5..... Cher Journal : 1 point

Tanita
Texte 1..... Sous les vacances l'enfer : 4 points
Texte 4..... Descente en Enfer : 3 points
Texte 5..... Cher Journal : 2 points
Texte 2..... L'enfer au Paradis : 1 point

Tipheret
Texte 1..... Sous les vacances l'enfer : 4 points
Texte 5..... Cher Journal : 3 points
Texte 3..... Quel Enfer ! : 2 points
Texte 2..... L'enfer au Paradis : 1 point

Maybel
Texte 1..... Sous les vacances l'enfer : 4 points
Texte 4..... Descente en Enfer : 3 points
Texte 3..... Quel Enfer ! : 2 points
Texte 2..... L'enfer au Paradis : 1 point


BRAVO A TOUS

Félicitation Tiphereth

Merci à vous tous, à ceux qui ont voté, mais aussi aux autres auteurs qui ont fait un travail absolument magnifique.
Je vous félicite toutes, car pour moi tout le monde a gagné !!!

Merci

Kikou,

MILLE BRAVOS ma douce Tiphereth, ton texte est simplement magnifique !

Bravo à toutes

Mille bises

Gaëlle

Merci infiniment, ma jolie Gaëlle