Diahne

Diahne


Enfin tomba le soir, Diahne en toge noir
Parti en espérant ne pas être tard
Dans l’épaisse forêt sans jamais hésité
Elle avance alors dans le noir le plus complet
Finalement elle perçut l’homme aux ailes déployé
Au yeux de sang, et aux cheveux argenté
Arrivé près de lui, elle hésite un mouvement
Mais cet l’homme impatient lui ôta ses vêtements
Et l’allongea nerveusement sur le sol humide
A cet instant, elle perçut comme un très grand vide
Car la dague perça sa Chaire
Perça la Fenêtre
Perça la Jeune Fille
Dans un cris effroyable
Elle se comprit vulnérable.
Cet homme est un Démon
Et son frêle corps une prison
Car il enferme maintenant
Sont futur enfant.

Quand l’acte s’acheva
Et s’enfuit à vive pas
Retournant au couvant
Ou des sœur déjà attendent
« Catin ! Fille de joie
Ce couvant n’est plus ton cher toi
Tes cuisses sont rouge de sans
Vas-t’en ! Vas-t’en !