Troisième vague de Poèmes.

Coucou à tous !!!

Voilà un tout nouveau poème !

La lune.

Cruelle dame blanche de la nuit,
Qui s'en va doucement et qui sourit,
Nous faisant espérer de l'atteindre
Alors que l'on meurt pour t'étreindre.

Guide des poètes et de l'art,
Tu es la mère de nos muses,
La Dame de ce talent rare,
Tu rigoles alors qu'on s'use...

Cruelle dame blanche de la nuit,
Qui s'en vient doucement et qui sourit,
Espéres-tu qu'un jour on te rejoindra ?
Où laisses-tu donc les traces de tes pas ?

Plume argentée qui nous guide,
Ne sais-tu point tant aimer
Que par mille moyens tu nous vide
De nos rêves et de nos pêchers ?

Cruelle dame blanche de la nuit,
Qui s'en va doucement et qui sourit,
Pourquoi donc nous laisses-tu ici ?
Toi qui a rendez vous avec l'infini ?

Terre sacrée de nos voyages
Qui guide nos esprits à travers le rêve,
Je te remercie de tant de paysages
De tant de miracles qu'ici-bas se lèvent.

Je dédicace ces petits riens,
Ces petits mots, ces petits bien :
A toi...

Belle dame blanche de la nuit,
Qui s'en vient doucement et qui sourit.

Que dire de plus... c'est tellement joli
Je suis contente de voir que la lune inspire toujours (moi je l'adore )

Merci Tsukki !

C'est normal la lune est tellement belle, chaque nuit, elle a une humeur variable... Cette dame nous cache tellement de secrets encore que l'on voudrait passer sa vie à la contempler !
Et ces simples mots ne pourraient jamais rendre hommage à sa beauté universelle ! J'adore la lune, et c'est pour ça que j'ai découvert ce site avec beaucoup d'apétit !!!

Ce soir, je viens vous addresser un message... Ce soir, c'est avec du courage que je viens vous posez ces vers... Ce poème je l'addresse à quelqu'un qui vient de partir, ce poème représente ce que je ressens et ma confusion...

Deuil à la maison,
Aujourd'hui la mort s'en est venue,
Elle a frappé là où l'on s'attendait déjà,
Mais, deuil à la maison est parvenue,
Le temps incertain de tristes décisions pour soi...

Pourtant, quelque chose cloche chez moi,
Des mots qui ne devraient pas venir,
Mais, quelque chose en moi ne va pas,
Je ne ressent pas la peine que je devrais sentir.

C'était le père de mon père,
Mais, je ne le connaissais pas,
Je vois encore ton visage, grand-père
Mais pas le son de ta voix.

Cette chose qui me manque,
C'est les larmes, et le coeur,
Je ne ressens rien, ni le planque :
Je dis vrai, je ne suis pas en malheur...

C'est des choses bien tristes,
Mais, ce n'est que confusion,
Des questions sur questions,
Qui s'amassent, et que j'assiste.

Deuil à la maison, la mort vient en chantant,
Deuil à la maison, et moi, je ne te ressens...
Pourtant je connais ton visage
Mais tes paroles étaient étrangères,
Deuil à la maison, je ne te connaissais pas
Deuil à la maison, même pas le son de ta voix.

Je suis vraiment triste pour toi
La confusion dans laquelle tu te trouves est bien naturelle : bien sûr il y a les liens du sang, etc... mais lorsque l'on ne côtoie jamais les personnes en question, souvent elles nous deviennent peu à peu étrangères même si elles appartiennent à notre propre famille... C'est triste mais c'est ainsi... Quoi qu'il en soit je suis de tout coeur avec toi

Moi aussi Asuka...
Je comprend ce que tu ressens, tu pourrais peut-être en parler avec un membre de ta famille, moi, c'est ce qui m'a manqué...

Merci Tsukki, merci Maybel ! Je n'avais pas lu vos messages, et à présent que j'ai pris du recul, je vous en remercie de tout coeur !
Je vais tenter d'écrire un autre poème sur la famille...

Mais pour l'instant, j'ai un petit "creu" dans mon inspiration, je met du temps pour composer quelque chose qui me plait vraiment, j'ai un "blog" dans lequel mes inspirations fusent, mais ce n'est pas vraiment de poèmes complets, c'est plus un "jet de mots".

Enfin, voilà ce que j'ai réussi à pondre :

Les mots se meurent.
Chaotique moment où rien ne vient.
Désastre du poète, malheur de la plume !
Mon esprit s'est éteint et sans rien :
Il s'endort en laissant s'échapper l'écume...

Des petites bulles rondes et sonores,
Mais de la magie vide et incolore.
Voilà à quoi ressemble ma tête,
Ces maux dans mes mots qui s'entêtent !

Ecrire ce qui est vide n'est pas palpitant,
C'est posé dans un champs un lac sans eau,
Sans goute de rosée au beau matin de printemps
Sans cette note de musique ruisselante dans les flots.

Malgré les essais et les efforts,
Le son reste inaudible et confus,
C'est presque des milliers de décors
Qui s'entremellent dans ma tête ingénue...

Hélàs les mots se meurent
La Mort est dans ma tête.
Mais la flamme demeure
Présente cependant muette !

Aujourd'hui j'ai ressenti quelque chose de bien curieux, ou plutôt une pensée brève auquelle je ne m'y attendais pas m'est parvenue !

Embrasse-moi.

Etrange pensée : Comme une voleuse
Tu t’es mis à marmonner des lettres fiévreuses :
« Embrasse-moi »
Penché sur moi : il ne savait rien,
Rien que mon esprit ne fut assez fou pour dévoiler,
Ma conscience et moi-même ne le laisserions jamais !
Mais ces mots qui me sont venus comme si de rien n’était…
Cette phrase qui, en moi, s’est mit clairement à résonner…
« Embrasse-moi »
Quelle prétention mon cœur a-t-il voulu admettre ?
Et si même ce fut mon cœur, dois-je le transmettre ?
Ce message mystérieux, simple mais bien curieux
N’a-t-il point fait là quelques étranges aveux ?

« Embrasse-moi »
C’est comme un refrain, cela résonne et se mémorise
Assez bien qu’à présent je le redise :
« Embrasse-moi » de tes lèvres
Puisque c’est ma pensée qui se lève
« Embrasse-moi »
Puisque c'est toi que cela concerne.
"Embrasse-moi à jamais."