[Poème] ¤¤¤ La maléfique dame des lois ¤¤¤

Merçi Tsukki ! C'est le bac blanc qui m'a inspiré, on a étudié un poème argumentatif sur le paresseux ! Et ça m'a donné l'idée ! ^^

Petit être de lumière.

Sourit en moi,
Sourit et tu verras,
Pas un ne se ressemble,
Ni aucun ne s'assemble.

Il n'y a pas de mystère,
Ni aucune lumière,
La vie est immortelle,
Et vole comme une hirondelle.

Invente-toi une chanson,
Qu'elle te berce au fil du temps,
Mais, jamais tu ne dois oublier,
La mère qui t'a ainsi créée.

Tu auras beau te disputer,
Pas un souffle ne sera vrai,
Puisqu'il est naturel d'aimer,
Tu l'aimeras à jamais.

Au petit être de lumière.

MaooôOôooo, c'est joliiiiiiii!!!!
Même la signature du poème est toute mignonne : ¤Poudre de Plume¤

Hihihi Merçi Tsukki !

C'est mon pseudo sur d'autres forums ! ^^

Alors ai-je gagné mon pari ?

C'est bien trouvé comme pseudo!! C'est plein de douceur et de légèreté!!

Hihihihi !

Alors, le défi l'est-il gagné ou ton préféré reste le deuxième ?

C'est très joli, c'est vrai C'est mon préféré en second
Mais je dois avouer que le deuxième est "excellement réussi" . Je suis peut être un peu trop difficile

R'ahhhhh ! Je vais bien y arriver un jour ! Je vois, je vois. Ca va être difficil de gagner le pari, mais je le maintient !!!

T'inquiète pas, ce que tu écris est très bien
(j'attends la suite avec impatience)

Merçi !

C'est dificile d'écrire plus, étant donnée que je n'ai plus d'internet sur mon ordinateur, donc plus beaucoup de possibilité de vous donnez mes poèmes. Mais, je peux y acceder à partir de l'ordinateur de ma soeur, mais en ce moment elle est de retour à la maison, donc j'en ferais plus tard.

Tsukki a écrit:

C'est très bien ce que tu écris. Le premier ressemble à une chanson avec des petits refrains. Mon préféré est celui ci : Les dits d'Amnibar
C'est réussi et original!!

JE suis tout a fait D'accord avec Tsuki, les dits d'Aminbar est aussi mon préféré pour sa musicalité notamment

Les Mots Perdus.

Alors messieurs les gros',
Etes-vous contents de vot' travail,
Que ça n'vous casse pas l'museau,
Lorsque d'autres nous font l'moral.

"Au nom de vot' pays et du bon dieu",
Qu'on nous dit avant l'départ,
Mais il se tracasse pas l'bon vieux,
Alors que nous on s'fend la poir'.

C'pas qu'on est pas d'bons citoyens,
Ou que l'on veut pas sauver l'pays,
Mais comprendre, on aimerait bien,
Savoir pourquoi on perd notr' vie.

Alors messieurs les gros,
Ne vous perdez pas dans vot' bureau.
On va la faire vot' salle guerre,
Avant de retourner dans not' terre.

Adieu ma femme, adieu ma fille,
Adieu mes amis, adieu ma famille,
Puisqu'il faut qu'l'on meurt pour vivr' heureux
J'vais mourir pour vous, et pour eux.

****

C'est très différent de ce que tu as écrit jusqu'à présent. Le ton est plus "adulte", plus "sérieux", comme désabusé... enfin je ne m'explique pas très bien
Quoi qu'il en soit, je trouve que tu l'as très bien réussi

Merçi Tsukki ! Ca faisait longtemps que j'avais envie de faire ce poème ! J'y suis arrivée !

Oui, ça change beaucoup je voulais un peu varier et je crois que c'est réussi !

oui il est différent mais bien... on dirait un peu une chanson

Oui c'est tout à fait ça ; une chanson avec certaines phrases (comme un refrain) qui reviennent...

Exactement !

La Vague.

Elle s'en vient près de toi,
Elle te suit, te guide et t'adopte,
Et toi, tu lui tend ton bras,
Elle s'agrippe pour qu'tu l'adores.

Elle te prit de la garder,
Et elle te dit des mots doux,
Mais lorsque tu crois l'avoir attraper,
Elle s'en va et oublie tout.

Alors toi, tu restes là,
Tu l'as regardes filer,
Tu voudrais bien l'arrêter,
Mais, elle s'échappe loin de toi.

Mais, elle revient toujours,
Après t'avoir abandonnée,
Elle te dit qu'en ce jour,
Elle ne te quittera plus jamais.

Cependant elle le refait,
Et se libère de tes bras,
Car telle est sa liberté,
Son pouvoir, et son droit.

Telle une vague elle reviendra,
Se loger auprès de toi,
Et puis un jour elle partira,
Cette amitié telle un roi.

Il y a là aussi une répétition, de va-et-vient qui convient tout à fait au titre du poème, c'est comme une idée de ressac qui correspond tout à fait à La Vague
Bravo

Merçi Tsukki ! ^^

***

Voici un autre poème que j'ai écris hier soir. Je sais pas pourquoi j'étais un peu triste et voilà ce qui est sorti de ma tête.

***

Prière d'une femme.

Pourrais-tu m'expliquer
Pourquoi tu l'as choisis,
Comme punition d'mes pêchés
En mettant fin à sa vie.

Si fallait punir quelqu'un,
Alors pourquoi pas moi ?
S'il fallait qu'vous en tuez un,
Pourquoi dans mes bras ?

J'ai pas eu l'temps, bon dieu
D'lui apprendre la vie,
Qu'elle vous a rejoint, mon vieux,
Dans votre grand paradis.

Dîtes-moi pourquoi là-haut,
Lui a-t-on mis ces ailes
Au lieu d'aller au zoo,
Elle est partit dans l'air.

C'était pas assez
Qu'vous prenez son père
Il a fallu qu'vous la r'prenez
A cette maudite terre,

Dans votre grand paysage,
Elle m'en voudra surement,
D'n'pas avoir eu courage...
De lui dire "Mon enfant...

... Adieu."

Vraiment excellentissime!!!!!
La mélancolie te fait écrire de bien belles choses

Merçi Tsukki !

Et voici l'original poème qui est à la base de "les mots perdus" (le poème parlé de la guerre).

***

La Guerre.

Combien de gens ont vu la mort pour avoir l'droit d'vivre ?
Combien d'entre eux ont-ils cru qu'ils pourraient être sauvé ?
Qui sont ces gens qui ne font que rire
Alors que d'autres se font massacrer ?

Pauvres innocents, lancés dans cette bataille interminable,
Pauvre de ces gens, qui ont vu couler leur sang de leurs entrailles,
Là-bas, il n'y avait plus de jour ni d'amour, juste la peur
Qui dans ses sombres paysage apporte sa terreur.

Combien de ces gens ont laissé derrière eux
Femmes, enfants, filles, garçons, amantes et mères ?
Combien ont eut la chance de les revoir, pauvres malheureux
Avant qu'enfin ils quittent lentement cette dure terre.

...

Échec cuisant, même dans les victoires,
Il n'y a aucun gagnant, mais juste des perdants.
Aucun prix, aucun mérite dans nulle gloire,
Que le nombre de morts qui s'entassent dans le temps.

Les humains ont oublié de s'arrêter
De vouloir progresser, alors qu'ils ne font que reculer,
À chaque pas en avant, ils en font trois en arrière,
Et partent lentement rejoindre leur propre misère.

...

Nous avons inventé le mot « paix »
Mais nous ne l'avons pas créé
Nous sommes sans cesse en guerre
Et contre nous, et contre notre terre.

Un mot, une larme, un rêve en un chant,
Quand cessera passer l'ombre de la mort sur nos champs ?

Ce n'est pas parce que je ne suis pas chez moi, que je ne suis pas en prise d'inspiration ! Voici ce que j'ai fait récemment.

****

Je voudrais

Je voudrais perdre ma voix,
Arrêter ainsi de parler,
Puisque mes paroles ne vous conviennent pas,
Et puisqu'il est vain même d'essayer.

Pourquoi a-t-on Une langue,
Si on t'aggresse à chaque fois que tu l'ouvres ?

Je voudrais enlever mon visage,
Puisque j'vous gache votre paysage,
Et qu'il n'y a pas d'espace
Pour ce que vous nommez une grande bécasse.

Pourquoi a-t-on une apparence,
Si on te critiques tout ce à quoi tu ressembles ?

Je voudrais perdre mes mains,
Puisque mes gestes sont enfantins,
Puisque c'que j'fais c'est forcement mauvais,
Et parce qu'il est vain même d'essayer.

Pourquoi a-t-on des membres,
Si on nous refuse de bouger et de vivre ?

Je voudrais perdre mes yeux
Puisqu'il ne faut rien voir d'eux
Que du bien, que du bonheur,
Comme un mensonge dans votre coeur.

Pourquoi ne peut-on voir,
Autre chose que votre espoir vaniteux ?

Je voudrais perdre mes esprits,
Si ce n'est pas déjà fait,
Que l'on me vide de ma vie,
Puisqu'il est vain même de rêver.

Il n'y a pas de réponse aux coeurs fermés
Comme à ceux des yeux voilés.

Gadka.

Alors là je suis en admiration!!
C'est très intelligent la manière dont tu as composé ce texte!! Vraiment bravo, j' beaucoup!!

Hihihihi !!!

J'étais en pleine révolte contre ma soeur qui à chaque parole me renvoit valser ! J'étais vraiment en colère, et c'était le seul moyen pour moi de m'exprimer ! Alors voilà.

Contente qu'il te plaise.